L’appréciation de la qualité visuelle d’un verre est réglée par la norme SIA 331 Fenêtres qui cite la méthodologie de la Norme verre 01, Vitrage isolant, rescriptions techniques, édition 2002, du Sigab (Institut suisse du verre dans le bâtiment) afin de déterminer si un vitrage est recevable ou non.
Cette norme vise à détecter les verres qui ne remplissent pas leur fonction de base, c’est à dire permettre la vision de l’environnement situé derrière eux.
Succinctement, le verre est testé à une distance de trois mètres, sous une lumière diffuse et en vision perpendiculaire. Si aucune gène n’est constatée, le vitrage est accepté, sinon c’est le nombre de défauts et leur emplacement qui permettra de déterminer l’acceptabilité ou non de l’élément testé.
Un verre acceptable n’est pas forcément exempt de défauts et c’est souvent cette situation qui pourra créer l’incompréhension des habitants, qu’ils soient locataires ou propriétaires.
La procédure de contrôle tient compte de l’usage du verre, soit assurer l’éclairage des pièces intérieures et permettre de voir l’extérieur, mais également de son procédé de fabrication et de transformation jusqu’à son installation sur le chantier.
C’est d’ailleurs lors de cette dernière opération que bien des déboires pourront être évités, particulièrement par une surveillance accrue du chantier lors :
Vous pouvez également prévenir un bonne partie de ces dégâts en appliquant un pellicule temporaire sur les verres, nous vous transmettrons volontiers un devis.